martes, 6 de julio de 2010

Pasatiempo: caza al bendito detalle en una escena de Jules et Jim (Truffaut, 1962).

Coincidiendo con el 90 cumpleaños del  fotógrafo  de la nouvelle vague Raymond Cauchetier se va a celebrar una exposición de fotos suyas en la James Hayman Gallery de Londres. Se hace eco el Daily Telegraph, que reproduce algunas de las obras expuestas.

La foto que aparece a continuación pertenece a Jules et Jim, película de la que Cauchetier fue still photographer, responsable de las fotos fijas, por lo que no aparece en los títulos de crédito :

Jules et Jim (Charenton-le-Pont) by Raymond Cauchetier

Oskar Wener (Jules), Henri Serre (Jim) and Jeanne Moreau (Catherine) run in drag across a Parisian footbridge in Jules et Jim. The film was directed by François Truffaut from a semi-autobiographical novel by Henri Pierre Roché. This image: Jules et Jim (Charenton-le-Pont) taken by Raymond Cauchetier, 1961

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Il Morandini, Dizionario dei film, di Laura, Luisa e Morando Morandini, Zanichelli, 2002.

Como explica la reseña, Jeanne Moreau, la prota, canta “Le tourbillon”, una canción que obtuvo cierto éxito y que después ha sido interpretada por Vanessa Paradis.

A. de Baecque y S. Toubiana en su biografía de F. Truffaut cuentan un detalle de la interpretación de J. Moreu:

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image Baecque, Antoine de, Toubiana, Serge, François Truffaut, Folio, 2001, p., 352.

 

 

 

 

 

Busque el detalle y habrá comprendido por qué algunos directores de la nouvelle vague, en la línea de Rossellini, eran reacios a someterse al dictado férreo de un guión:

Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale {2x}.
On s'est connus, on s'est reconnus,
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés,
Puis on s'est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, hàie, hàie, hàie
Ça fait déjà un fameux bail {2x}.
Au son des banjos je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais.
Je me suis soûlé en l'écoutant.
L'alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant {2x}.
On s'est connus, on s'est reconnus.
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés.
Dans le tourbillon de la vie.
On a continué à toumer
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis on s'est réchauffés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Je l'ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras.
Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?
Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.

(Paroles: G.Bassiak Musique: Georges Delerue)

2 comentarios:

  1. Me viene a la cabeza un terrorífico relato de Mario Benedetti titulado -y no por casualidad- 'Jules et Jim'

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